Fiona Monbet
En concert le 30 octobre à la Cigale
Une création en compagnie d'un orchestre de chambre et d'un quintet de jazz
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Invitation : pour venir écouter Fiona Monbet le 30 octobre à la Cigale, merci de me confirmer votre présence.
La violoniste Fiona Monbet dévoilera le 30 octobre à la Cigale sa nouvelle création en compagnie d'un orchestre de chambre et d'un quintet de jazz. Cette création de Fiona Monbet mêle écriture et improvisation en une grande forme lumineuse et ouverte : un quartet de jazz, un guitariste folk irlandais, et un orchestre symphonique d'une vingtaine de musiciens.
Avec ce nouveau répertoire qui fait suite à la sortie de son second album Contrebande l'année dernière, la virtuose dévoile ainsi les différentes facettes qui font partie de sa vie artistique, fruit d’un parcours musical considéré comme atypique.
Chaque matière qu’elle travaille, le violon classique, l’improvisation, le jazz, la direction d'orchestre, vient nourrir et cultiver l’autre, sous forme de variations qui paraissent infinies.
Au delà de toute forme démonstrative, Fiona Monbet cherche un espace singulier, où voisinent avec bonheur les différents univers musicaux qu’elle explore, dans un dialogue des genres, sans mélange, où chacun d’entre eux conserve son identité. A ne pas rater le 30 octobre à la Cigale.
Pour regarder et diffuser le titre Valse :
https://youtu.be/gCdcCyKPtnI |
Repérée très jeune par Didier Lockwood, ce dernier l’a présentée sur les plus grandes scènes et festivals, et la propulse dans le monde de l’improvisation et de la musique actuelle où elle rencontre et collabore avec de nombreux artistes.
Contrebande, c’est le titre choisi par Fiona Monbet pour son second album… Cinq ans après O’Ceol, la violoniste a bel et bien changé, affirmant plus sa différence de styles qu’une simple virtuosité. Son registre ? Ne pas choisir entre toutes les musiques qui l’animent, composer avec pour élaborer un voyage tout à la fois érudit et sensible, où elle peut aussi bien accoster du côté des rivages du Brésil qu’aborder les terres fertiles de la musique balkanique.
D’une frontière à l’autre, cet album vagabonde parmi les gammes pour mieux défier les œillères qui trop souvent contraignent le regard à un seul prisme, et proposer ainsi un horizon aux larges perspectives, en accord avec sa vision du monde de la musique. Du swing ouvert par ici, du tango tendance nuevo par-là, on peut aller sur le terrain de la valse et la country.
A chaque fois, cet affleurement ne néglige pas d’aller au fond de l’esprit d’une musique. Esthète mais sans épate, à l’image de Fiona Monbet, qui a mené une carrière en double, pour ne pas écrire plus : entre jazz et classique, puis bien vite à l’écoute des musiques folk irlandaises, du swing manouche, des partitions contemporaines…
À ses côtés, elle s’est choisie un trio aux influences tout aussi multiples : le guitariste Antoine Boyer a pour dominante le classique et jazz, le contrebassiste Damien Varaillon, est solidement arrimé au jazz, tandis que l’accordéoniste Pierre Cussac évolue aux frontières des musiques classiques, traditionnelles et improvisées.
Aujourd'hui, Fiona Monbet continue à faire bouger les lignes du classique, du jazz, et de l'impro avec une création qui sera révélée le 30 octobre à la Cigale. Pour ce concert Fiona Monbet choisit de réunir un quartet de jazz, un guitariste folk irlandais, et une vingtaine de musiciens pour une création mêlant écriture et improvisation en une grande forme lumineuse et ouverte.
En concert le 30 octobre 2019 à La Cigale
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